
J’ai découvert Thales lors de mes classes préparatoires car je m’intéressais notamment au monde de l’aéronautique et du spatial. Suite à mon intégration en école d'ingénieur, j’ai eu la chance de participer à une visite sur un des sites de Thales. Mon projet professionnel s’est alors affiné via mes stages et c’est en août 2010 que j’ai rejoint le Groupe en tant qu’ingénieur systèmes modes radar.
J’ai ensuite évolué vers un poste de jeune architecte radar. J’y ai la responsabilité de définir ou de faire évoluer des produits pour qu’ils répondent aux besoins exprimés par un client.
J’interviens ainsi en amont du cycle de développement, où je participe à la phase de proposition de l’offre et aux discussions techniques avec le client, et où je m’applique à décliner les spécifications résultantes en exigences associées aux différentes composantes du système radar et j’interviens aussi en aval du cycle de développement, où je suis par exemple responsable du dossier prouvant que le système répond bien à l’ensemble des besoins client. C’est donc un poste complet aux responsabilités très larges où il faut avoir une vision globale de son sujet.
D’emblée, j’ai été impressionné par le nombre de métiers et de personnes travaillant sur le site de Bordeaux. Chacun avec leurs spécificités et caractères, ils forment un ensemble cohérent pour développer des systèmes complexes.
Au quotidien il s’agit de relever de nombreux défis : les interactions avec les différents métiers, et le planning qui guide le développement, amènent à savoir être très réactif. Si un problème se présente, il faut avoir la culture du « plan B », parce qu’il existe toujours une solution. Dans mon métier, il n’y a pas vraiment de journée type, et c’est ce qui fait tout l’intérêt du travail qui se partage entre partie technique (modélisation, spécification…); et partie relationnelle (échanges, compréhension des besoins…) avec les équipes. Je perçois Thales comme un collectif, multi compétences, multi métiers, qui réalise des systèmes complexes connus et reconnus dans des domaines (transport, défense, spatial, aéronautique, sécurité) passionnants et en évolutions permanentes. L’ambiance au quotidien sur les sites reflète cette dynamique. Propice au travail et à la réalisation des projets (et à la réalisation de soi !), elle est à la fois détendue et sérieuse. Et à titre d’exemple l’intégration / la formation des jeunes par les personnes ayant plus d’expériences y est une réalité.
« On rejoint Thales si on est attiré par les hautes technologies et si on aime le travail d’équipe, le collaboratif. »
Thales ne se limite d’ailleurs pas à un site ou à une équipe. C’est un vrai réseau. Les opportunités sont nombreuses, en France mais aussi à l’international. Cela amène l’opportunité de travailler dans plusieurs domaines d’application et dans des environnements différents. On peut changer de métier tout en restant dans la famille Thales.
Le rôle de Campus Manager démontre la volonté de Thales d’accueillir et d’intégrer les jeunes dans le Groupe.
Mickael a aussi le rôle de Campus Manager pour l’ENSEIRB-MATMECA. Les Campus Managers ont pour mission de promouvoir Thales auprès des étudiants dans les écoles, sur les forums de recrutement mais également via les réseaux sociaux. Pour accomplir au mieux cette mission, les Campus Managers sont répartis sur tous les bassins d’emploi, ce qui leur permet d’être à a fois proches des écoles mais d’être également plus représentatifs de l’ensemble des activités Thales.